Norvgroen
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 |  Sujet: le chevalier  Lun 28 Oct - 5:03 | |
| Ruka
Le passionné
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   |  Posté le: Mar 10 Mai - 13:06 (2011) Sujet du message: Le fil de Ruka |     |
| LE CHEVALIER Tome 2 - Whelan Le Loup de Nibu
Chapitre 25
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Tout en donnant son ordre, il passa sa longe dans l’anneau situé sur le coté droit du collier tandis que son collègue, l’ayant rejoint, passa sa laisse dans l’anneau situé de l’autre coté. C’est ainsi que le loup de Nibu quitta sa cellule.
Toujours solidement tenu en laisse, Whelan fit son apparition sur le lieu de son supplice. Comme stipulé dans les ordres royaux les deux gardiens remirent leur prisonnier entre les mains du Maître des Hautes Œuvres.
Dès que celui-ci lui eut passé une chaine en guise de laisse dans l’anneau central de son collier, les gardes qui l’avait accompagné jusqu’ici retirèrent la leur et quittèrent les lieux.
- Comme l’on se retrouve ?
- Je ne pensais plus vous revoir ?
- Vous vous en êtes tiré, c’est bien. Cela va me permettre de pouvoir m’amuser encore un peu avec vous.
- Mais dites donc ! c’est la deuxième fois que je vois des chaînes de cette sorte ?
- La dernière fois sur le collier du supplicié il y avait des dessins de gravés, ont aurait dit des armoiries. Les vôtres, par contre, sont semblable et différente à la fois. Semblable par la fabrication, cette façon de jouer avec les métaux, ce dessin gravé en relief sur le médaillon central du collier, cette fois ci ……..il ressemble à une tête de loup. Dit-il en lui soulevant légèrement le menton de Whelan pour mieux voir.
- Enfin différente, car je n’ai jamais vu personne entravé de cette façon, même le pire des criminels qui est passé entre mes mains n’était pas aussi sévèrement enchainé.
- Dites donc je ne sais pas ce que vous avez fait pour mériter d’être harnaché de la sorte ? mais ……..
- Ah ! je vois ! Il est vrai que de cette façon vous êtes inoffensif pour mes servants. Je dois bien reconnaître qu’ils étaient légèrement inquiets. Les rumeurs ont la dent dure. !!!!!
Tout en faisant les questions et les réponses le bourreau entraina son prisonnier au pied du « Pilori de la bête enragée ».
- Dit- moi tu le reconnais ?
- Eh oui ! c’est là que cela va se passer.
- Cela te rappel des souvenirs, je suppose !!!
- J’attends que le procureur en ai fini avec l’énoncé de la sentence et tu seras à moi encore une fois.
- Voilà tu es de nouveau tout à moi, je vais enfin pouvoir m’amuser un peu sans que personne n’intervienne. Du moins je l’espère !!!!
- Tiens ! le porteur de clef ! dit le bourreau en s’adressant à Whelan.
Le chevalier de Ter Nova allait s’adresser au bourreau quand celui-ci pressé de commencer le devança.
- Je connais déjà la raison de votre venue, merci de le libérer rapidement de ses chaines afin que je puisse commencer l’exécution de la sentence de ce prisonnier pas comme les autres.
- Tenez, je mets l’un de mes servants à votre disposition.
- Merci de me faciliter ainsi la tâche, lui répondit Landry, je vais faire de mon mieux pour vous satisfaire dit il avec ironie.
Il confia donc le coffret à tête de Loup à l’assistant du bourreau qui venait juste de le rejoindre et commença à débarrasser Whelan de ses chaines. Il avait à peine retiré les fers de ses chevilles que celles-ci fut de nouveau entravé. De même à l’instant où Landry libéra les poignets du Loup de Nibu ils furent immédiatement enserrés dans la double menotte du pilori. Ils n’eurent pas même le temps de retomber le long du corps. Pour terminer il lui retira son collier.
- Voilà je vous laisse maintenant.
- Ah encore une chose. J’allais oublier.
- Il se tourna de nouveau vers Whelan et lui retira son bâillon.
- Voilà cette fois ci j’ai fini.
- Après avoir récupérer le coffret auprès de l’assistant du bourreau il tourna les talons et s’en alla.
Bonne lecture
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Le passionné
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| | Posté le: Mer 18 Mai - 20:20 (2011) Sujet du message: Le fil de Ruka | |
| Voici enfin venu le dernier chapitre du Tome 2
LE CHEVALIER Tome 2 - Whelan Le Loup de Nibu
Chapitre 25
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- Enfin seul !
- Nous allons pouvoir commencer. J’ai hâte de pouvoir zébré ce joli petit dos encore vierge de toute marque que je devine sous ta chemise. J’en suis tout existé.
- Ah ! moi aussi ! j’allais oublier !
- J’ai une petite surprise pour toi regardes !
Le maître des Hautes Œuvres appela d’un geste l’un de ses servants, celui-ci arriva tenant dans ses mains un coffret, mais complètement différent de celui du Chevalier de Ter Nova. En effet, Whelan le connaissait très bien ainsi que son contenu, d’ailleurs il n’eut aucun mal à reconnaître « le collier de la bête » dès qu’il le sorti.
- Voilà, c’est bien, laisses toi faire ! dit-il en lui enserrant le cou avec cet effroyable collier.
- De toute façon tu n’a pas d’autre choix. Car si tu bouges un tant sois peu tu vas te provoquer épouvantables douleurs. Continua-t-il tout en le fixant au pilori.
- Bon passons aux choses sérieuses !
- Fais moi voir ton joli petit dos, je l’imagine tout beau, d’une belle peau fine vierge de toutes marques, un rég ………..
Tout en parlant il déchira la chemise du condamné, mais quand il découvrit enfin son dos, il en resta bouche bée. Complètement interloqué. Il en mangea même la fin de sa phrase.
- Surpris hein ? Lui lança Le Loup de Nibu.
- Pour le dos vierge de toutes marques vous arrivez trop tard mon pauvre. Mon ancienne maitresse est passée avant vous. Il faudra vous contenter de ce qui reste !!
En effet, le dos du Loup de Nibu était couvert de cicatrices, la plus part étant de vieilles marques de fouets complètement cicatrisées. Mais ce qui attirait tout de suite le regard c’était la tête de loup marquée au fer rouge sur chacune de ses épaules.
Le bourreau, vexé par la réflexion de Whelan, lui tira brusquement la tête en arrière ce qui lui provoqua une douleur insupportable, accompagné de quelques gouttes de sangs qui coulèrent de son collier, puis il lui enfonça de force un morceau de cuir dans la bouche. Mais ayant anticipé à temps le mouvement de son tourmenteur, Whelan s’en tira sans trop de dommage.
- Cela t’apprendra à tenir ta langue. Et tiens-toi tranquille, si non …
- Tu sais maintenant ce qui t’attends.
- D’ailleurs je peux faire ce que je veux. J’ai carte blanche m’a-t-on dit récemment, alors tiens-toi le pour dit.
- Bon ! si nous commencions maintenant dit il en empoignant le fouet que l’un de ses assistants lui tendit.
Il prit son élan et lança le fouet de toutes ses forces sur le dos de Whelan.
- Et un compta t-il
- Il ramena son fouet en arrière et l’abattis une nouvelle fois sur le dos du supplicié.
- Et de deux !
Il continua ainsi de suite jusqu’à ce qu’il arrive à 15.
Quand il eut fini, Le Loup de Nibu, avait non seulement le dos en sang, car le bourreau y avait mis du cœur à l’ouvrage, mais il y avait aussi des petites gouttes de sangs qui s’écoulaient le long de son cou, car, même si Whelan, avait pu contenir les premiers coups, il fut rapidement à bout de force et ne pu les contenir tous. Néanmoins, il était toujours debout. Pas très vaillant mais debout.
- Tu as l’air d’avoir résisté, mais je voudrais savoir jusqu’à quel point.
- En attendant que le Chevalier de la Garde Royale n’arrive, je vais te libérer de tes chaines et voir si tu tiendras encore debout tout seul. De toute façon dans l’état où tu es, je ne prends pas de risque.
- De plus, il faut bien le dire, je me réjouis à l’avance de te voir t’effondrer pareil à une marionnette à qui ont aurait subitement coupés les fils.
- Pour commencer je te libérer les poignets.
Le bourreau avait à peine libérer les mains du prisonnier quelle tombèrent mollement le long de son corps.
- Que c’est mou tout ça, j’avais raison une vraie poupée de chiffon !
- Maintenant, je vais te détacher du pilori. Plus exactement je vais décrocher la chaine de ton collier du pilori. Voilà comme cela. Dit-il en ôtant la chaine de l’anneau scellé dans le bois du poteau.
- Oh ! tu as encore assez de force pour tenir ton cou droit, c’est bien. Mais combien de temps pourras-tu tenir comme cela ?
- J’espère que tu seras assez résistant, pour attendre l’officier de la Garde, car sinon, je ne te parle pas des conséquences. Dit-il en riant.
- Nous arrivons au moment de vérité, je vais libérer tes pieds maintenant. Si tu arrives à faire un pas, un seul pas sans t’effondrer sur sol. Je te permettrais d’attendre, dignement, que l’on vienne te chercher, assis sur ce coffre. Dans le cas contraire tu resteras affaler par terre pareil à un pantin désarticulé.
- Voilà c’est fait. A toi de jouer !
- Pour le moment une chose est sur. Tu tiens debout tout seul. Mais seras-tu capable de faire un pas. Cela est une autre histoire !
Pendant que l’exécuteur libérait le Loup de Nibu de ses entraves ses assistants installèrent un banc à quelques pas du supplicié.
Whelan regarda son tourmenteur, puis regarda attentivement le banc de longues minutes. On aura dit qu’il mesurait la distance à parcourir. Puis il s’élança. S’élancer est un bien grand mot, disons qu’il commença à faire un pas assez hésitant pour commencer, mais le suivant fut plus assuré par contre, le troisième et dernier celui l’amenait au pied du coffre fut difficile, il était à bout de force, et ne serait pas allez plus loin.
- Vraiment tu es quelqu’un de pas banal toi. Pour la peine je vais t’aider à t’assoir.
- Tu me fais penser à une personne que j’ai rencontrée dernièrement, vous êtes de la même trempe. Ce qui est surprenant c’est que vous portez des entraves pas ordinaires tout deux.
- Bon, on vient te chercher.
- En effet le chevalier de Ter Nova arriva tenant dans ses mains le coffret à tête de loup.
- Vu dans l’état ou vous êtes, ce n’est peut-être pas nécessaire ? Vous n’êtes un danger pour personne actuellement. Dit Landry en arrivant.
- Vous vous trompez Chevalier, la peur est un sentiment irrationnel, même couvert de chaines et enfermé dans une cage, ils auraient toujours peur, donc faites votre devoir. Lui répondit Whelan avec lassitude. On voyait bien qu’il souffrait.
- Dès que le Maître des Hautes Œuvres me retirera son collier, vous pourrez de nouveau m’entraver avec les fers de ce coffret. Il fit alors l’effort de tendre ses mains pour joindre le geste à la parole.
- Voilà c’est fait ! dit le bourreau en lui retirant le collier de la bête.
- Il est tout à vous maintenant !
- Toujours assis sur son banc, Whelan se lassa enchainer docilement.
- Bon, je pense que cela devrait suffire maintenant.
- Mais Whelan remonta avec peine ses mains au niveau de sa poitrine pour lui faire comprendre de finir de l’entraver avec les fers restants.
- Landry faisait signe de partir quand Whelan l’interpella doucement
- Vous n’avez pas terminé ! Il reste quelque chose dans le coffret !
Tout aussi doucement Landry répondit
- Vous avez l’œil ! Vous êtes sur de vouloir aller jusque là ?
- Oui ! l’un de mes gardiens croit en toutes ces rumeurs, et ainsi il se sent à l’abri. Donc vous savez ce qui vous reste à faire.
- Je me range à votre avis.
A ses mots Landry retira une petite bourse du coffret, dont il sorti un petit instrument, plus exactement un mors identique à celui des gardes, mais forgé dans le même métal que les entraves de Whelan et avec des têtes de loups finement ciselés à chaque extrémité. Une personne ne connaissant pas son utilité le prendrait à coup pour un magnifique bijou.
- Ouvrez ordonna-t-il mollement. En lui présentant le bâillon.
Whelan s’exécuta aussitôt, et ouvrit bien grand pour pouvoir permettre au Chevalier de Ter-Nova d’installer correctement le mors qui lui obstruerait la bouche.
Pendant que Landry finissait d’entraver Whelan, les gardes chargés de ramener le prisonnier à sa cellule se présentèrent afin de le prendre en charge. Comme lors de son arrivé le Loup de Nibu quitta les lieux encadrer par deux gardes qui le tenait étroitement en laisse.
Lentement mais surement ils arrivèrent à destination. Le garde de faction devant la cellule leur ouvrit immédiatement la porte dès leur arrivée. Là attendais un comité d’accueil composé du médecin qui l’avait déjà soigné auparavant et du Chevalier de Ter Nova. Une fois à l’intérieur il fut pris en charge par Landry, qui en premier lieu congédia les deux gardes.
- Nous allons pouvoir nous occuper de toi maintenant. Tout d’abord je vais te débarrasser de tous ça dit-il en commençant par lui retirer le mors qu’il lui obstruait la bouche.
- Tiens assis toi là dit-il en le soutenant jusqu’à son lit.
- Tu sais, je peux encore marcher tout seul répliqua Whelan en souriant malgré sa souffrance.
- Peut-être mais on ne sait jamais, il suffit que tu trébuches et comment veux-tu te rattraper acharné comme tu es, et on ne peut pas dire non plus que tu sois très fringant.
- C’est vrai tu as raison, je ne peux pas dire le contraire.
Après avoir installé Whelan sur son lit, Landry entrepris de le débarrassé de ses fers.
- Voilà c’était le dernier dit-il en lui retirant le fer qui lui enserrait le cou.
- A présent je te laisse entre les mains du médecin.
- Je repasserai pour prendre de tes nouvelles plus tard.
Bonne lecture
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Le staff de LOM
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   | | Posté le: Ven 27 Mai - 09:45 (2011) Sujet du message: Le fil de Ruka | |
| oh lala Haku tu me mets a rude epreuve je commence tout juste a te lire et je vois qu'il y a deja trois pages completes,je ne lis jamais d'habitude
mais là c'est passionnant je suis ravi et tes images sont choisies avec soin encore merci.
P.S:ne m'en veux pas si je suis lent
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