Norvgroen
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 |  Sujet: Légendes urbaines  Lun 28 Oct - 4:06 | |
| Kyosuke1407
Le Geek
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|  Posté le: Mer 21 Nov - 13:28 (2012) Sujet du message: Légendes Urbaines |     |
| Ce sujet est ouvert à toutes histoires de votre part et à toutes critique, du moment que cela concerne une ou des légendes urbaines.
Tout d'abord qu'est-ce qu'une légende urbaine ?
Définition d'une légende urbaine:
Une légende urbaine (de l'anglais : urban legend) est une histoire moderne, se rapprochant du mythe, pouvant emprunter à tous les genres (anecdote, horreur, blague, etc.)
et se répandant de proche en proche par le bouche à oreille ou par d'autres moyen populaire (contemporain ou non).
Elle est dénommée aussi légende contemporaine et se rapproche de la rumeur, du canular. En tant que littérature orale, et suivant sa résistance au temps, elle fera partie intégrante ou non du folklore.
La première étude sociologique d'une légende urbaine est due au sociologue français Edgar Morin (Edgar Morin. La Rumeur d'Orléans. Paris : Le Seuil, 1969)
de sorte qu'en France on désigne souvent sous ce vocable ce qui dans le monde anglo-saxon est qualifié d' "urban legend".
Le sociologue américain Jan Harold Brunvand a, dès les années 1980, appliqué aux récits populaires circulant dans le monde moderne des théories
et des concepts académiques établis par les folkloristes dans l'étude traditionnelle des légendes associées le plus souvent à des faits historiques
lointains ou à des cultures rurales.
Les légendes urbaines sont fréquemment recyclées, s'adaptant aux nouveaux lieux et temps, et sont traduites d'une langue à une autre sans difficulté
apparente. Ces histoires sont souvent racontées comme étant arrivées à « l'ami d'un ami ». Certaines sont récentes, d'autres sont très vieilles
(comme la légende de Beblenheim) et circulaient déjà par courrier postal. Toutes ces légendes forment un folklore ;
c'est d'ailleurs ce qui les différencie des rumeurs.
En voici déjà trois pour commencer.
PREMIÈRE LÉGENDE URBAINE:
La vielle folle:
Un soir, des parents décident de sortir.
Ils laissent leurs deux filles de 12 et 16 ans seules.
Comme elles s'ennuient, elles décident de regarder la télé où passent les informations. Elles apprennent alors qu'une folle très dangereuse, culs-de-jatte, et se déplaçant en fauteuil roulant, s'est échappé de l'asile tout proche. La présentatrice prévient qu'elle est extrêmement dangereuse et qu'il faut absolument que les habitant prennent de nombreuses précautions.
Elles décident immédiatement de fermer toutes les issus (fenêtres, portes, ...). Elle sont alors rassurées et vont se coucher, chacune dans leur chambre.
Un quart d'heure après, la petite sœur vient réveiller la grande en lui disant qu'elle a trop peur, qu'elle ne peut pas dormir. La grande soeur accepte qu'elle vienne dans le lit avec elle et se rendort. Encore un quart d'heure plus tard, la petite soeur réveille la grande et lui dit qu'elle va sous le lit, comme ça si la folle arrive, elle ne pourra pas l'attraper. la grande sœur n'y prête pas attention et se rendort. Elle va dormir toute la nuit, mais son sommeil sera troublé par des bruits réguliers, suivi comme d'un frottement. Le lendemain matin, quand elle se réveille, elle descend directement voir ses parents. Elle trouve son père dans la cuisine en train de lire le journal. Comme il ne répond pas, elle s'approche et lui enlève le journal des mains. Elle le trouve alors décapité, la tête sous le bras. Elle court dans la salle de bain et trouve sa mère dans la baignoire, remplit de son propre sang. Elle pense soudain à sa sœur et retourne dans sa chambre. elle la retrouve éventrée sous le lit. En descendant au salon, elle trouve un fauteuil roulant, qui avait été jeté pour briser la fenêtre. Les bruits qu'elle avait entendu était la folle qui, avec un couteau dans chaque main, avançait en les plantant dans le sol et se tirait.
La vieille folle n'a jamais été retrouvée. Mais on recense quatre autres crimes semblable aux États-Unis à des années différentes. Il paraitrait que plus de trente ans après des personnes entendent encore des frottement dans la nuit.
En ce qui concerne la maison, il parait que les propriétaires différents ont entendus des hurlements et des frottements durant les nuits qu'ils ont passés dans cette maison.
DEUXIÈME LÉGENDE URBAINE
Un clown dans la chambre
12 Octobre 1996:
Un couple avait décidé d’aller au restaurant pour la soirée, et appela donc donc une nouvelle baby-sitter pour garder leurs enfants.
La baby-sitter envoya les enfants au lit en leurs disant que s'ils n'étaient pas sage, elle les tuerai ( sur un ton de plaisanterie).
Mais une heure après le départ des parents, ces derniers réalisèrent qu’ils avaient oublié de donner leur numéro de téléphone où pouvait les joindre la baby-sitter.
Ils l’appelèrent donc.
Après qu’elle eut marqué leur numéro, elle leur demanda si elle pouvait aller dans leur chambre regarder le satellite.
Elle venait juste de mettre les enfants au lit et voulait voir une émission. (Les parents avaient installés le satellite uniquement dans leur chambre pour ne pas
que leurs enfants ne regardent n’importe quoi à la télé.)
Ils lui répondirent qu’il n’y avait aucun problème à cela. La baby-sitter leur demanda aussi si elle pouvait cacher ou mettre un drap sur
la poupée en forme de clown installé sur le lit des parents, parce qu’elle la rendait nerveuse.
« Prenez les enfants et allez chez les voisins tout de suite. Nous n‘avons pas de poupée en forme de clown à la maison. Nous appelons la police »
répondirent les parents.
C'est alors qu'elle entendit un énorme bruit derrière elle. Lorsqu'elle se retourna le clown n'était plus sur le lit. et la fenêtre était ouverte avec un couteau plein de sang sur les draps.
La baby-sitter pensa tout de suite aux enfants et couru vers leurs chambre. Elle les découvrit attachés, ballonnés et éventrés chacun dans leurs lit.
Le clown n'a jamais été attrapé, et en l'absence de preuves, la police inculpa la baby-sitter pour homicide.
Depuis il parait que le clown courre toujours. En effet une affaire similaire serait arrivé en 2003 dans un petit village d'Allemagne.
TROISIÈME LÉGENDE URBAINE
L'homme déguisé en vieille dame
20 Mars 1986:
Nord-pas-de-calais:
Béatrice, était allée, seule, au cinéma, dans un grand complexe en périphérie de la ville. En retournant vers sa voiture, elle trouve la portière ouverte côté passager.
Une vieille femme est assise sur le siège. Cette dernière explique à Béatrice qu’elle ne se sentait pas bien.
Elle prétend que la portière était ouverte et qu’elle s’est assise là pour se reposer un instant.
Elle demande alors à Béatrice si celle-ci ne veut pas la ramener chez elle. Ne sachant trop que faire, Béatrice accepte et embarque la vieille.
En roulant, elle jette un coup d’oeil en coin vers la vieille, et constate que ses mains sont couvertes d’une abondante pilosité.
De plus en plus effrayée, elle décide de provoquer volontairement un accident, se précipite hors de sa voiture et interpelle le chauffeur de la voiture
qu’elle vient d’emboutir. « Monsieur, monsieur, aidez-moi. ». Béatrice et l’homme s’approche alors de la voiture, mais la vieille s’est envolé.
Béatrice décide d’aller porter plainte à la police. Elle raconte son histoire aux policiers. Après l’avoir écouté, ceux-ci lui demande si elle a déjà ouvert
le coffre de sa voiture. Elle répond que non.
Ils l’accompagnent alors à sa voiture et ouvrent le coffre où ils trouvent… une tronçonneuse! Béatrice aurait échappé de justesse à un tueur en série
déguisé en vieille femme. L’activité de celui-ci serait tenue secrète par la police afin de faciliter son arrestation…
Seulement l'homme n'a jamais été attrapé. Et roderai encore dans le coin.
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| | Posté le: Mer 21 Nov - 13:28 (2012) Sujet du message: Publicité | |
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Le Geek
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| | Posté le: Mer 21 Nov - 15:51 (2012) Sujet du message: Légendes Urbaines | |
| La légende de la femme à la bouche fendue (légende urbaine japonaise)
La Kuchisake Onna, soit « la femme à la bouche fendue » dans la légende de base, porte des vêtements de couleur sombre ainsi qu’un long masque, sur le visage.
Elle apparaît le plus souvent, en pleine nuit, et parfois, en campagne. Là, elle s’en prend aux hommes. Lorsqu’elle en remarque un, elle le suit, puis une fois
devant lui, elle ôte son masque et fixe l’homme, puis sourit. Mais son sourire ne semble pas s’arrêter et s’étend sur tout son visage, en continuant toujours de
s’agrandir, jusqu’aux oreilles, puis elle rit en ouvrant la bouche… Ensuite, elle disparaît. Là non plus, nous ne connaissons pas les raisons qui la poussent à apparaître.
Dans une autre version, elle demanderait à l’homme si celui-ci la trouve belle. S’il répond négativement, la femme le tue de suite.
S’il lui dit oui, elle le suit jusque chez lui et le tue devant sa porte. La seule façon de survivre est de lui dire qu’elle est ordinaire.
Bien connue et utilisée à foison dans les mangas et les films, elle emporte la première place dans le top 10 des légendes urbaines du Japon !
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| | malicia-rerhti
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| | Posté le: Jeu 22 Nov - 00:36 (2012) Sujet du message: Légendes Urbaines | |
| o_o
heureusement que je ne lis pas ca juste avant d'aller dormir o-o
Bonsang je ne ferai plus jamais confiance au vielle femme xD
Et pour la japonaise je connaissais x)
Roooh, vivement la suivante *-*
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Kyosuke1407
Le Geek
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| | Posté le: Jeu 22 Nov - 12:37 (2012) Sujet du message: Légendes Urbaines | |
| La légende de l'auto-stoppeur
En 2000, en France, Aude partait de Colmar pour une semaine de vacances en Espagne. Elle avait bourré son coffre et mis les affaires restantes sur le siège arrière.
Elle avait effectué le trajet en plusieurs étapes, s’arrêtant pour de petites pauses. Elle arrivait dans les Landes et traversait ces étendues désolées de forêts de
pins, avec le régulateur de vitesse enclenché. C'était ennuyeux.
Au bout d'un certain temps, elle croisa un auto-stoppeur, un homme d'un certain âge et habillé étrangement. Mais elle ne le pris pas en stop car elle se méfiait des auto-stoppeur. Après s'être arrêter une fois dans un café, elle reprit la route. Quelques kilomètres plus loin elle recroisa l'auto-stoppeur. Aude continua sont chemin sans s'arrêter pensant que quelqu'un l'avait pris en stop. Une dizaine de kilomètres plus loin, Aude recroisa encore l'auto-stoppeur. Elle pensa que c'était impossible et commença à avoir peur. Inquiète, elle s'arrêta plusieurs fois pour prendre un café.
La nuit était déjà avancée et le temps était mauvais. L’air était électrique, l’orage couvait. Ce temps la rendait nerveuse, en plus de la fatigue de la route et
de l’heure, 2h du matin. Le fait que sa jauge d’essence était au plus bas et qu’après s’être écartée de son itinéraire lors de sa dernière pause, elle se soit perdue,
n’aidait pas.
Elle était bouillonnante de rage envers elle-même. Elle se disait : As-tu regardé ta jauge d'essence ? Et bien, non, se morigénait-elle. As-tu regardé une carte ?
Non, j'en ai pas. As-tu regardé les panneaux ? Oui, mais il ne m'aide pas beaucoup.
Elle avait beau roulé, aucune ville ne se présentait. Finalement, alors qu’elle venait de se décider à s’arrêter pour dormir dans sa voiture sur la banquette arrière,
elle tomba sur un petit poste d'essence, décrépi, sur le bord de la route. Elle s’arrêta à côté des pompes. Peu après, le pompiste sortit de ce qu’on ne pouvait
qu’appelait un cabanon. Manifestement, la station n’était pas équipé de pompe 24/24 par carte, mais d’un pompiste insomniaque.
Le pompiste fit le tour de la voiture et s’approcha de sa vitre. Lorsqu’elle lui demanda de faire le plein, elle ne put ignorer son comportement des plus étranges.
Elle dut répéter plusieurs fois sa demande car le gars ne semblait pas comprendre. Il devait être un peu lent. Le pompiste restait planté devant elle à lui faire une
drôle de tête, des grimaces même. Il s'exécuta enfin, mais une fois le plein fait, il revint à la portière, glissa le bras au-dessus de la vitre baissée et tira sur
la languette déverrouillant le capot. Sans qu’elle l’en eut prié, le pompiste voulut vérifier le moteur à cause d’une drôle d’odeur, avait-il prétendu.
Elle commençait à avoir peur. Elle était seule, dans cette station-service crasseuse et isolée au milieu des plantations de pins, en compagnie de ce pompiste bizarre
qui faisait tout pour retarder son départ. Il essayait de la garder ici. Que lui voulait-il ? As-tu regardé sa tête, se disait-elle ? Il a l'air louche. Elle sentait
le danger. Le pompiste continuait de farfouiller sous le capot et lui demanda de venir voir le moteur, il y avait du dégât. Il fallait qu’elle le constate elle-même.
Elle n’avait pas du tout envie de sortir mais elle se disait que si elle n’y allait pas, cela risquerait de le contrarier et de compliquer la situation. Elle sortit
donc, mais elle emmena avec elle son sac à main. Il était tellement lourd qu’elle pourrait en le faisant tournoyer au bout de la lanière assommer un pompiste trop
entreprenant. Aussitôt parvenue à ses côtés, il lui attrapa le coude et dit:
- Cette voiture a besoin d'une remorqueuse, vous devez venir avec moi dans le bureau !
Voyant que sa cliente ne faisait pas mine d’obéir, il appliqua sa grosse main sur sa bouche et l’entraîna de force dans son bureau. Aude se débattit, tenta de mordre
la main qui l'a muselée. Dés qu’ils franchirent la porte du cabanon, il la relâcha et dit :
- As-tu regardé sur le siège arrière ?
- Quoi le siège arrière ? Espèce de fou...
- Il y a un homme couché sur la banquette arrière, sous une couverture, l'interrompt le pompiste. Je ne voulais pas qu’il sache que je l’avais repéré.
Ils passèrent un appel téléphonique à la gendarmerie, mais lorsque les gendarmes arrivèrent l'homme avait disparu.
Il s’avéra que l'auto-stoppeur, avait profité d’une des pauses de la jeune fille pour grimper dans la voiture et se planquer sur le siège arrière. Il attendait le moment opportun pour ajouter Aude à la liste de ses victimes. Il avait déjà fait de nombreuse victimes et procédait toujours de la même manière. Il se cachait sur le siège arrière et sortait de sa planque au
moment opportun.
Finalement, Aude laissa tomber l’Espagne et resta en France. Elle passa ses vacances dans les landes, en compagnie du pompiste qui paraissait nettement moins
bizarre quand un homme bizarre n’était pas à proximité...
Cette légende existe depuis les années 50 et à émergé aux États-Unis où l'auto stoppeur poursuivait ses victimes jusqu’à ce qu'elle le prennes en stop. Certain pense que ce serais le fantôme d'un auto-stoppeur qui n'aurais pas trouvé le repos. Et qui se vengerais sur les automobilistes en les tuant lorsqu'ils le prenait en stop ou qu'ils refusaient.
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| | malicia-rerhti
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